Des innovations fidèles à la Tradition ecclésiale multiséculaire

L'immense penseur catholique Bruno Latour qui fût pendant des décennies l'un des auteurs les plus cités au monde en sciences humaines traita maintes fois de la profonde différence à établir entre une Tradition fidèle à l'Eglise et une autre qui ne le serait pas en dépit de certaines apparences trompeuses.

L'évangile valtortien se révèle quant à lui d'une fidélité impressionnante à la Tradition ecclésiale multiséculaire la plus sainte, la plus riche et la plus profonde en dépit d' apparences capables de tromper les lecteurs non équipés de l'éclairage puissant d'un Latour, de son logiciel performant pour discerner  judicieusement  ce qui est fidèle de ce qui ne l'est pas dans les apports nouveaux explicitant ou complétant à leur manière ce qui les précédait.

C'est précisément le cas de ce 5ème et dernier évangile non point inspiré par l'Esprit-Saint à la façon des 4 autres mais conçu, voulu, projeté, organisé, pensé, réalisé par le Seigneur Jésus lui-même, donc par le Logos ou Verbe Incarné ou parole du Père en Personne puisque dans la Tradition ecclésiale multiséculaire la plus fidèle on sait qu'en Jésus, s'il est 2 natures il n'est néanmoins qu'une seule personne, la seconde de la famille trinitaire.

 Ajoutons qu'il plut au Seigneur de s'adjoindre une aide humaine: notre très chère Maria V. si bien qu'on se trouve avec ce dernier évangile devant un travail doublement humano-divin: d'abord au titre de l'Homme-Dieu, son concepteur et co/réalisateur, ensuite au titre de sa coopération avec une humaine: la jeune Maria V.

Dans l'article :"D'un Jésus méconnu voir inconnu dans l'évangile valtortien" nous fournirons un exemple de ce type d'innovation enrichissant fidèlement la Tradition ecclésiale.