Aller en bas
Ortho92
Ortho92
Messages : 18
Date d'inscription : 23/10/2021
Age : 69
Localisation : Nanterre.92
Saint intercesseur : Ste Thérèse de l'Enfant Jésus
Idéal : La Paix dans la communion des idées.

Fin de vie , maladie chronique et suicide. Empty Fin de vie , maladie chronique et suicide.

Mer 22 Mar - 22:30
Bonjour. En lisant cet échange consacré à la fin de vie de Maria VALTORTA, y aurait-il un passage dans l'Oeuvre de Maria VALTORTA qui parlerait de la fin de vie , du suicide (euthanasie volontaire ou suicide assisté) surtout en cas de maladie définitivement déclarée inguérissable, extrêmement douloureuse mais non mortelle? Je m'entends: souffrir d'une maladie avec des douleurs tellement intenses que l'on pourrait être amené à choisir de se suicider s'il n'y avait plus de médicaments pour soulager ces douleurs. La maladie étant déclarée médicalement par des médecins et Professeurs de Médecine en Neurochirurgie du cerveau comme inguérissable. 

Certes, "Dieu" peut vouloir mettre l'âme à l'épreuve (de quoi?) .

 Satan peut être le moteur (je ne sais) de cette maladie (comment, pourquoi?). Mais comment reconnaître l'un de l'autre?
Comment faire la différence entre tentation de Satan, d'une conséquence de fautes passées (?) et la volonté de "Dieu"? 

Je mets entre parenthèses ce nom car je crains d'utiliser le Nom de "Dieu".

Je sais que nombre de mystiques ont eu des épreuves physiques intolérables, kje pense de suite à Marthe ROBIN et bien sûr à Maria VALTORTA.

Merci par avance de vos réponses.

_________________
Hélène
Hélène
Administratrice
Messages : 308
Date d'inscription : 24/04/2021

Fin de vie , maladie chronique et suicide. Empty Re: Fin de vie , maladie chronique et suicide.

Jeu 23 Mar - 21:37
Bonjour @Ortho92,

Malheureusement, on ne voit pas votre vidéo sur le forum : pouvez-vous mettre le lien youtube ? Smile

Sinon, pour répondre à vos questions de manière assez générale :

Y aurait-il un passage dans l'Oeuvre de Maria VALTORTA qui parlerait de la fin de vie , du suicide

Oui, il y a bien des passages qui en parlent. Une visioconférence sera bientôt organisée sur le sujet (le 26 avril prochain). Si ça vous intéresse, vous pouvez vous y inscrire (c'est en distanciel et c'est facile à suivre : https://www.linscription.com/pro/inscription-v2.php?P1=60865?PHPSESSID=fdbe641e4c237f27f10726ab2a1b717e).

L'EMV ne traite pas spécialement du suicide dans le cadre de l'euthanasie, ou du suicide assisté, mais son pronostic est clair : le suicide n'est pas permis.
Cela est dit dans l'EMV 69, à Judas, et cela est encore redit dans l'EMV 283 avec un échange entre Syntica, Jésus, et Judas.

Dans le cas de la maladie, je peux vous recommander les textes ci-dessous pour creuser creuser le thème de la maladie et de la souffrance.

C43, 18.10, p.382 Enfermée dans la chair, l’âme subit parfois les fatigues de la chair
C43, 21.19, p.394 Les maladies sont le fruit de votre désobéissance à Dieu
C43, 10.11, p.456 Vos œuvres portent la marque de vos maladies mentales et spirituelles
C43, 21.11, p.482-483 La maladie veut vous faire réfléchir à la fin qui vous attend
EMV T4, ch.295.5 Les maladies envoyées par Dieu, et celles qui proviennent du vice
EMV T5, ch.350.2 Maladie, possession, exorcisme
EMV T6, ch.376 La souffrance rédemptrice des justes voulue par Dieu : le cas de Lazare
EMV T6, ch.415 Souffrance offerte de Lazare
EMV T9, ch.555 La souffrance est comme un sacerdoce
AZ, p.87 Souffrir est un don de Dieu aux hommes
AZ, p.198 Utilité de la souffrance
(C43 = Cahiers de 1943 ; AZ = Le Livre d'Azarias).

Dans votre cas (les maladies incurables), je pense qu'on peut rapprocher ces âmes des âmes victimes, qui aident le monde par leurs souffrances et leurs douleurs. Si vous voulez, ce thème est plus exploré dans cette vidéo suivante : https://www.youtube.com/watch?v=tp_P2cszY3I&t=30s&ab_channel=L%27%C3%A2mesanctifi%C3%A9e

Pour résumer ce que le Maître nous enseigne, la souffrance est rédemption quand la douleur est bien vécue et offerte à Dieu. Elle peut arracher les âmes à Satan, elle peut soulager les âmes du Purgatoire, elle peut alléger les châtiments, elle peut nous faire voler dans les voies de l'esprit. C'est difficile de raconter tout ce que nous donne la souffrance et la douleur, mais elle nous change de plus en plus en être céleste et en citoyen des cieux si on l'accueille et qu'on l'offre à Dieu pour aider nos frères et purifier notre âme.

Je n'ai pas trop le temps de faire un long post ce soir, mais je peux vous partager un texte que j'ai écrit il y a quelques années, et qui explique, à ma façon, la valeur de la souffrance. Ca vaut ce que ça vaut Wink (en revanche ça n'aborde pas spécialement le thème de la maladie, mais plutôt le thème de la pénitence).

Personnellement, je n'ai vraiment découvert la "profondeur" de la souffrance, des sacrifices, de la pénitence que grâce à Maria Valtorta.

J'ai appris que, même si on devait vivre la douleur, on pouvait l'élever en quelque chose de spirituel, en un encens agréable à Dieu si, avec douceur et humilité, avec joie et patience, on la donne à Dieu dans un divin abandon.

Ce n'est pas facile, encore moins quand beaucoup de choses semblent se liguer contre nous. Mais d'autre part, c'est un réconfort de se dire : "Ma souffrance n'est pas inutile. Je peux l'offrir à Dieu pour obtenir une grâce, pour aider une âme qui est ma soeur, pour me faire un trésor spirituel dans les Cieux, là où m'attendent les Anges et les caresses de Marie. Je peux l'offrir à Dieu pour lui demander pardon pour toutes mes fautes et mes péchés. Je peux la donner à Dieu pour alléger la souffrance des âmes du Purgatoire. Je peux la donner pour les mourants, qui sont dans l'agonie ; pour les désespérés, afin de leur rendre l'espérance ; pour les malades, afin de leur rendre la santé du corps et de l'âme. Je peux tout faire avec la souffrance et avec tous mes gestes dans la vie, pour autant que j'aie l'Amour."

Choisir de faire des sacrifices volontairement est une épreuve, car il y a toujours ce combat entre l'esprit et la chair. Mais ce n'est pas dolorisme si, humblement, on veut offrir ces petites perles à Dieu, pour sa joie et son amour.

Amour pour Dieu, car on se plie nous-mêmes, on se fait olive sous le pressoir, pour en extraire le doux jus de l'amour. Et par ce suc issu de nos souffrances, on lui dit : "Tiens, pour ta joie et celle de mes frères. Apaise la Haine, l'injustice, les pleurs. Réconforte ceux qui ont faim. Rayonne dans le coeur d'une âme. Brille telle une étoile au milieu des orages. Guide-moi pour que je sois plus saint. Et aide-nous à grandir dans l'Amour, pour que, de pierres brutes, nous devons des joyaux, des saphirs, des rubis, des émeraudes sertis pour le Ciel".

Qu'est-ce que le renoncement, la douleur, la souffrance de nos petits sacrifices ? L'Amour, rien que l'Amour. Un Amour qui mendie des grâces, un Amour saint, car il sait voler dans les sphères de l'esprit, un Amour libre, car le monde, la chair et le démon ne savent plus entraver l'âme par ses tentations.

Renoncer à des petits plaisirs, veiller à garder son coeur loin de toutes pensées plus mauvaises et aller contre nos inclinations, n'est pas un dolorisme, si ce sacrifice a pour but de nous plonger davantage dans l'Amour et dans la sainteté. C'est plutôt lumière, intelligence, sagesse, et bonté.

Quand un jardinier coupe les branches d'un arbre qui lui tient à coeur, est-il méchant de le faire ? Non, si cela contribue à une meilleure formation du corps végétal et si cela lui permet de faire de meilleurs bourgeons, de plus belles fleurs, et enfin des meilleurs fruits. L'arbre  s'en trouvera plus beau, plus fort, plus enrichi.

Il en va de même pour nous. L'âme oblige le corps à se plier à ses volontés, mais se faisant, le corps devient plus saint, plus fort, plus résistant. L'esprit vole, et avec lui vient la paix, la joie intérieure, et une liberté qui n'est pas de ce monde, si je puis dire ça ainsi.

Nos résolutions devraient être centrés sur ce que nous avons le plus de mal à accomplir... Sourire face à une personne que nous ne supportons pas et être agréable. Renoncer à ce que nous mangeons peut-être abusivement, comme les chips ou le chocolat. Ne pas se plaindre si nous avons souvent tendance à agir ainsi avec autrui.

C'est souffrir, c'est vrai ! Spirituellement, physiquement, moralement. Mais là-haut, la douleur se change en bien éternel.

Mieux encore, si on offre tout de suite nos petits "cadeaux" à Dieu, cet or céleste peut bénir et soutenir une âme. N'est-il pas doux d'aider un frère et une soeur ? Alors pourquoi ne pas le faire si par la prière et l'abandon, par l'Amour et la confiance en Dieu, on peut obtenir toutes ces choses ?

La souffrance, on doit la rencontrer toute notre vie durant... Autant s'en faire une amie, douloureuse, il est vrai, accablante, il est vrai aussi, fidèle car elle ne nous abandonne jamais complètement. Mais après ! La souffrance s'arrête au seuil du Paradis. C'est comme la Sagesse décrite dans la Bible. Elle est pesante, lourde, exigeante. Mais ensuite, elle se change en douceur, en miel, en réconfort paradisiaque. Après le combat... Après la lutte... Mais nous avons Dieu avec nous et pour nous ; nous avons notre Ange gardien et toute la cour céleste avec nous.

Peut-on craindre quelque chose en pareille compagnie ?

Thérèse de Lisieux disait qu'on n'avait qu'un instant pour souffrir, et Jésus, dans Maria Valtorta, a dit un jour : "La douleur passe, toujours elle passe". Encourageons-nous ainsi, par nos petits sacrifices, selon ce qu'on rencontre dans notre vie. Chacun doit voir ce qu'il est capable, chacun doit voir ce que tel petit sacrifice pourrait être bon pour lui, en son corps, pour son prochain ou pour son âme.

Et la seule chose qui compte, en notre vie, c'est l'amour et uniquement l'amour. Rappelons-nous-en, et faisons ce à quoi Dieu nous a disposé dans notre vie, selon nos moyens, nos capacités et notre amour.

Je laisse également l'extrait où Jésus condamne le suicide, mais ça ne parle pas du cas spécifique de la maladie qui engendre d'énormes souffrances :
EMV 69:

J'espère que cela vous donnera plus de pistes.

Fraternellement,
Hélène
Hélène
Hélène
Administratrice
Messages : 308
Date d'inscription : 24/04/2021

Fin de vie , maladie chronique et suicide. Empty Re: Fin de vie , maladie chronique et suicide.

Jeu 23 Mar - 23:17
Pour creuser quand même un peu, je vous livre mon analyse sur le sujet.

Qu'est-ce que la maladie ? C'est un désordre, une discordance dans l'harmonie initialement voulue par Dieu. Qu'il s'agisse d'une faiblesse du corps, d'un microbe, d'un virus, ou de bien d'autres choses, l'organisme humain doit lutter contre cette turbulence auquel il fait face et, pendant un temps donné, l'homme est affaibli, jusqu'à ce qu'il guérisse.

Comment vivre la souffrance dans la maladie ? L'homme athée cherche forcément à guérir par des moyens humains et à lutter contre la souffrance. C'est naturel, car l'être humain n'aime pas souffrir : c'est contraire aux inclinations de la chair et même de son esprit.

Mais l'âme chrétienne ne doit pas voir sa Croix comme un fardeau qui l'écrase. Elle doit s'unir au Christ souffrant, marcher avec Lui sur le chemin du Calvaire. Ce sera déjà une consolation dans son épreuve, parce qu'en pensant à son Sauveur, elle ne sera pas seule à souffrir. Au contraire, dit le Christ, "nous serons deux et nous épaulerons l'un l'autre, et même si tu ne me vois pas, même si tu ne me sens pas, moi, je serai toujours avec toi".

Voilà donc que l'âme est malade, sinon en son esprit, au moins dans son corps. Et la souffrance grandit, devient intolérable, ne s'arrête pas. Que faire alors ? Fuir la souffrance ? C'est ce que choisirait l'homme moderne. Sur ce point, ceci n'est pas foncièrement mauvais, car on ne doit pas idolâtrer la souffrance pour la souffrance, ni pratiquer un dolorisme mortifère. Cela pourrait devenir alors une aumône pour son orgueil personnel. Si on peut apaiser la douleur, dans une juste mesure, on peut le faire pour que l'âme retrouve une pause, puisse se reposer un temps soit peu avant le prochain combat. De plus, il est juste d'aider son corps à se soigner et à suppléer ses faiblesses.

Dans certains cas, la douleur peut être une compagne omniprésente. Elle peut être plus forte que les médicaments, et la maladie peut perdurer malgré les traitements utilisés. Comment agir alors ? Il faut renoncer à se battre ? Non, la vie vaut toujours la peine d'être vécue, et il faut la chérir autant que possible, car elle est un cadeau de Dieu. Alors quoi ? Faut-il redoubler ses médicaments ? Non plus, en tout cas pas si c'est contre l'avis des médecins et du personnel médical. Fuir la souffrance alors ? Au point de se donner la mort ?

Si une telle tentation effleure l'âme, il y a là un grand danger, car Satan essaie de pousser l'âme au désespoir. L'âme vigilante doit repousser cette insinuation du Démon, et même si elle est affaiblie par la douleur, elle doit remettre toute sa confiance en Dieu. Il faut croire, envers et contre tout, que le Seigneur ne fait jamais rien sans but, que le Seigneur ne permet jamais que telle ou telle chose ne se passe sans une bonne raison. Pour l'heure, on ne peut pas comprendre. Mais qu'importe, il faut pousser notre confiance à un degré héroïque. Croire sans voir où il nous conduit. Croire malgré la souffrance qui nous entoure et nous abrutit. Croire que le Christ a vécu bien pire que nous, et qu'il est là pour nous. Nous pleurons des larmes de sang ? Notre corps crie, notre âme gémit, notre esprit semble vivre dans l'obscurité la plus totale ? Eh bien ! Charque larme, chaque soupir, chaque vague de souffrance est recueillie par notre ange gardien. Rien ne lui échappe et si ces épines nous torturent, au Ciel, elles se changeront en roses éternelles.

C'est bien, dit l'âme, mais en attendant, je ne suis pas au Paradis et je souffre. Ne peut-il pas comprendre que je sois las, fatigué, que je n'en puisse plus ? Ne peut-il pas comprendre que je veuille en finir ? N'est-il pas toute Miséricorde ? Si je m'ôte la vie, est-ce qu'il ne me pardonnerait pas ? On dit qu'il est un Père, alors un Père ne peut-il pas comprendre son enfant ?

Et voilà que le Ciel se penche et dit :

"Non, mon enfant. Ne rejette pas ta Croix comme si c'était une loque misérable, qui soit objet de lassitude et de mépris. C'est ce que le monde, c'est ce que Satan, c'est ce que ta chair veulent te faire croire. En vérité, c'est le plus beau cadeau que je puisse te faire, car à travers ta souffrance, tu deviens semblable à Moi, le Christ. Tel un petit rédempteur, tes douleurs viennent briser les chaines, relever les opprimés, délier les enchainés. Tel un petit rédempteur, chacune de tes douleurs vient s'unir à mon Précieux Sang pour purifier, guérir, fortifier. Tu ne le vois pas. Mais moi, je vois tout, et je te le dis : je ne t'enverrais pas cette maladie sans une bonne raison.

Pour l'âme qui est encore informe dans le Bien, la faiblesse de la chair est un cadeau, car cela permet à l'esprit de se rendre compte qu'il ne vivra pas sur la Terre pour toujours. Quand l'âme est plus avancée sur la voie de la sanctification, elle M'offre tout, car elle sait que chaque souffle et chaque battement de peur peut servir au salut des âmes. Elle sait donc également que la souffrance a un prix infini à mes yeux, car c'est par celle-ci que j'ai voulu racheter la Faute.

Ceux qui ont une maladie incurable doivent non seulement garder l'espérance, mais aussi chérir chaque jour que je leur offre pour leur sanctification.
Elles doivent garder l'espérance car, comme le dit l'Archange, rien n'est impossible à Dieu. Ne puis-je pas les guérir si je le désire ? Y a-t-il des limites à ma Puissance ? Si donc, je le souhaite, ne peuvent-elles pas se lever parfaitement guéries, comme je l'ai dit au paralytique ? L'espérance doit être la couronne de leur âme, et pourtant, elles doivent toujours avoir foi en ma bonté si je leur donne une longue vie de souffrances. Non par plaisir - le Seigneur n'aime pas voir souffrir ceux qu'ils aiment - mais parce que tout sert à l'économie sainte du salut universel.

Ensuite, l'âme doit se servir de chaque jour qu'il lui est donné pour se sanctifier. Vous n'avez qu'une seule vie et cette vie est votre monnaie d'éternité. Cette vie, c'est Moi qui vous l'offre et vous devez donc la faire fructifier à cent pour un. N'offensez pas la Charité en blessant Dieu, en blessant votre prochain, et en vous blessant vous-mêmes. Bien souvent, l'homme ne se rend pas compte qu'il mutile son âme en se donnant la mort, qu'il blesse sa famille, ses amis et ses proches par son départ, et qu'il offense Dieu qui l'a envoyé sur la Terre pour une mission bien particulière. Seul le Très-Haut peut rappeler auprès de Lui une âme, et se donner la mort n'est jamais permis.

Dieu compatit, Dieut voit et Dieu comprend. Mais le suicide n'est jamais la solution qui vous aidera, ô hommes. Le suicide est avant tout de l'orgueil - orgueil de croire que rien ni personne ne peut l'aider. Non. Plongez-vous dans l'humilité de l'Homme-Dieu qui n'a pas fui sa Passion, mais a embrassé la Croix avec amour. Regardez mes saints qui ont connu une longue vie de souffrances, et qui pourtant, ne se sont jamais dérobés face au joyau de la douleur. Prenez courage dans l'épreuve, mes enfants, car bientôt, elle se terminera pour vous mener jusqu'aux pâturages éternels. Et alors la souffrance sera oubliée pour toujours, pour toujours, pour toujours !

Pense toujours : "Je souffre maintenant pour le salut de mes frères". Tu verras qu'en donnant un but à ta souffrance - et il n'y a rien de plus précieux que le salut d'une âme - la douleur deviendra ton amie, et te permettra de te créer un trésor dans les Cieux."
Anonymous
Jacques.D.
Invité

Fin de vie , maladie chronique et suicide. Empty Maladie, douleurs et fin de vie.

Sam 25 Mar - 9:01
Bonjour Hélène. Merci pour votre réponse détaillée ainsi que pour votre recherche.Je vais consulter les références que vous m'indiquez. J'espère être disponible pour votre émission du 24 avril prochain à 20h.

Je suis quelqu'un de très sceptique et plutôt terre-à-terre. Donc je prends les informations données par Maria Valtorta comme très étonnantes en ce qui concerne les détails archéologiques et historiques dont elle parle. Je me réfère aux ouvrages de Jean AULANIER  et Jean-François Lavère. Pour quelqu'un qui fut clouée au lit dans sa chambre et avoir de telles visions est très surprenant.  Pour " l'Éternel " ma profonde conviction est que D.ieu doit être Amour.Sinon Cela ne peut être Cela. Un Dieu qui compterait les fautes de chaque être et ses bonnes actions point par point, article par article comme un marchand,  Dieu le Créateur de tout l'Univers où notre Terre n'est qu'un caillou ou un grain de sable sur une plage de toutes les plages existantes sur cette Terre m'étonne.  Comment  réduire D.ieu à si peu? Les Hébreux et les Arabes , fondateurs des trois religions monothéistes fondatrices de notre civilisation vivaient il y a deux mille ans. Ils ignoraient les découvertes de cet immense Univers tel qu'il se révèle sous nos yeux grâce aux télescopes sur orbite. Découvertes qui nous emmènent de plus en plus loin et qui semblent n'avoir d'autres limites que la capacité technique de ces appareils. 
Quant au corps humain cette merveilleuse chose est un appareil de chair et d'os qui a des limites : celle de l'âge, de votre patrimoine génétique porteur de qualités et de défauts. Dans le cerveau   les nerfs sont constitués principalement d'une fibre centrale entourée d'une gaine protectrice appelée myéline. Cette  enveloppe peut sous divers facteurs: âge,  solidité, usure , peut se détériorer. Comme il y a des croisements permanents avec les artérioles du système sanguin il suffit d'un contact entre les deux pour qu'une montée trop rapide de sang sous l'effet de l' hypertension artérielle gonfle les voies sanguines et se fassent toucher les deux .Un faux contact s'ensuit et une décharge se produit. Maintenant il reste  le mental qui doit jouer un rôle crucial. Puisqu'il dispose en bien ou en mal l'hypertension. Donc l'âme humaine, la psychée, joue un rôle éminent en effet. Merci pour aide. Que l'Éternel vous bénisse. Jacques.
Revenir en haut
Permission de ce forum:
Vous pouvez répondre aux sujets dans ce forum