KTO, L'Esprit des Lettres de juin 2023

Bonjour,

Je ne peux malheureusement répondre que brièvement à cause de l'heure tardive.

@André, merci pour ta remarque sur le bon sens, qui  était effectivement pertinente. J'ai peut-être été trop vite en besogne sur le sujet

Merci également à @Daniel Fiorletta pour ton commentaire sur la vidéo youtube, je pense qu'elle était plus que nécessaire.

En ce qui concerne l'un des messages d'@AndréBryand, je ne peux qu'être d'accord avec lui sur la charité :

L'œuvre doit servir paisiblement à l'enseignement, et non l'employer pour diviser et condamner ceux qui n'y croient pas.
Il n'est nullement obligatoire d'y croire.
La règle charitable, quant à elle, est divine et exigible.

Cette règle est essentielle, à la fois pour ne pas scandaliser notre prochain (en ayant une attitude chrétienne), et à la fois pour faire plaisir à notre Dieu, qui demande qu'on soit à son image, donc doux et humble de  coeur.

D'autre part, je comprends également le zèle et les réactions d'André ou d'autrui (nous sommes plusieurs à vouloir défendre l'EMV et le reste des écrits valtortiens). Comme dans toute chose, dans la vie morale comme la vie spirituelle, il faut un équilibre : être ferme, mais être miséricordieux, être bon, sans être mièvre, etc.

Qu'on soit valtortiste ou non, on n'échappe pas à cette règle, et je dirais même que, puisqu'on a beaucoup reçu, on doit d'autant plus appliquer les préceptes évangéliques.

Mais je ne vous apprendrai certainement rien

Fraternellement,
Hélène

En effet, l'Œuvre de Maria Valtorta n'est pas seulement une lecture édifiante, mais un vecteur universel d'évangélisation (qui permet donc la rencontre personnelle avec le Christ et son Evangile), ce que rappelle @Jean-Yves. Comme les mages, nous avons reçu chacun le signe de converger d'horizons différents vers la même crèche et nous y retrouver.
Cependant le mode évangélisation n'est pas unique. L'EMV le démontre très bien. Même Judas la sert dit Jésus. Il n'y a donc pas un standard de valtortiste : l'un est l'impétueux Pierre, l'autre son doux frère, l'un est le rigoureux Nathanaël et l'autre le jovial Thomas.
Avec le développement du lectorat "engagé" cette diversité est manifeste.
Olivier Bonnassies aime, dans ses réfutations, rappeler cette maxime de St Augustin : "Par dessus tout l'unité, pour le débat la liberté, dans tous les cas la charité". Ce que rappelle @Hélène.

L'expérience m'a confronté à la dureté des aprioris, de la mauvaise foi, de "l'intégrisme" des opposants. Mais elle m'a appris aussi que je possède ce même "intégrisme" et cela s'appelle la foi en l'Œuvre et en son Auteur. En 31 ans, je n'ai jamais douté ou émis des réserves sur l'Œuvre. Mes contradicteurs se trouvent donc, eux aussi, devant la dureté de mes aprioris.

Cependant, je ne pourrais jamais me passer de ces contradicteurs. Je l'affirme : c'est grâce à eux aussi que je me suis enrichi des trésors de la foi. C'est grâce à la tromperie de Wikipedia que je me suis intéressé à la biographie de Maria Valtorta; c'est grâce aux égouts de l'Index que j'ai pu découvrir pourquoi la foi catholique entrait dans la Parole de Dieu par l'Evangile et non par la Bible; c'est grâce au ni-chaud ni-froid de la conférence des évêques d'Italie que je suis entré dans la compréhension des révélations privées; c'est grâce à "l'hérésie" de Don Chevallier que j'ai découvert et compris la splendeur de l'Immaculée conception; c'est grâce à l'avertissement bâclé et agressif de la commission doctrinale que j'ai trouvé le maillon qui unit l'Œuvre à l'Eglise, ...

C'est en cherchant la réfutation des critiques que je me suis enrichi.

Je commence seulement à comprendre pourquoi Jésus disait "Bénissez vos adversaires (Matthieu 5,44 et Luc 6.27)". Dois-je l'avouer : je me suis parfois pris d'amitié pour certains de ces contradicteurs (qui me l'ont rendu) non parce que nous baissions pavillon, mais parce que j'avais ressenti en eux la sincérité de la recherche. Et qui cherche, trouve. Moi, j'ai trouvé.

Bonjour François-Michel,
Merci de mentionner Wikipédia.
Les articles sur Wikipédia sont en général suivis et doivent respecter l'objectivité.
J'ai vérifié l'article sur Maria Valtorta.
J'ai commenté son manque d'objectivité, car en effet il en manquait: et c'est contre l'idée première de créer une encyclopédie accessible à tous,
qui se doit de suivre des règles de base sur cette entreprise de construire ensemble cet ensemble culturel...


Pouvez-vous vérifier si vous voyez la mise en garde que j'ai placée ce matin?

https://fr.wikipedia.org/wiki/Maria_Valtorta
 
L'avertissement du début commence par «Cet article sur Maria Valtorta est subjectif et NON OFFICIELLEMENT représentatif. »

Merci de me dire si on peut voir ce commentaire.


Bryand


P.S. Je crois qu'on ne le voit pas:
voici ce qu'il disait:
Cet article sur Maria Valtorta est subjectif et NON OFFICIELLEMENT représentatif. D'abord il manque beaucoup de précisions pour avoir une idée plus objectivement rendue à cette œuvre dont les plus grands noms prennent la défense, contrairement à M. Bouflet, dont on se réfère dans cet article, qui est un candidat (et je dirais sans fondement confirmé) contre cette œuvre. Il ne peut donc qu'avoir émis une opinion personnelle...
De plus, la mise en l'index, elle aussi référée dans cet article, n'existe plus puisque l'Index lui-même a été suspendue dans les ANNÉES 60. Les plus grands théologiens défendent cette œuvre, y compris parmi un grand nombre d'ecclésiastiques... dont Pie XII (docteur en théologie) avait dit que les lecteurs peuvent lire l'œuvre: cité des paroles du pape en 1948: «"Publiez l’œuvre telle qu’elle. Il n’y a pas lieu de donner une opinion quant à son origine, qu’elle soit extraordinaire ou non. Ceux qui liront comprendront".   »
Ce qui veut dire que cette œuvre, même si on la croirait purement ''humaine'' , est sans erreur et utile de par son contenu...
À suivre, si demandé... AndréBryand



OU VOIR sur une page de commentaire:
Est-ce accessible?

https://fr.wikipedia.org/wiki/Discussion:Maria_Valtorta#L%27objectivit%C3%A9_de_l%27article_sur_Maria_Valtorta.

AndréBryand a écrit:

Concernant les allégations de forces occultes, qui croient cela?
Je pense que nous pourrons toujours démontrer la superficialité de ce genre de propos.

Bryand

C’est Joachim Bouflet qui en parle vers la fin de son intervention à partir de 1:12:36
Daniel

Daniel Fiorletta a écrit:

AndréBryand a écrit:

Concernant les allégations de forces occultes, qui croient cela?
Je pense que nous pourrons toujours démontrer la superficialité de ce genre de propos.

Bryand

C’est Joachim Bouflet qui en parle vers la fin de son intervention à partir de 1:12:36
Daniel

C'est à lui que je faisais référence.

https://mariavaltorta.forumactif.com/t260-kto-l-esprit-des-lettres-de-juin-2023#3249

Ce qui veut dite: ''À part lui, qui croit cela?''
Sûrement très peu, et cela n'implique qu'eux.
Je ne crois pas que sont nombreux les gens qui manquent autant de discernement.

Je crois que l'œuvre continue à grandir encore mieux.
Bryand

Comment faire pour cacher un énorme mensonge a son auditoire ? Mr Bouflet va nous l'apprendre, en artiste, à la fin de cette interview.

Sa méthode est imparable :

après les deux principales contre-vérités énoncées par lui durant cette interview ( 1. que l'oeuvre se serait appelée officiellement "Le cinquième Évangile", et 2. que Maria Valtorta aurait déclaré s'être inspirée de la Bible et d'un dictionnaire, ce qui est faux dans les deux cas ), contre-vérités qui sont la partie visible de l'iceberg mensonger de son pamphlet,

Mr Bouflet, avec une vraie indignation apparente, ose jouer le jeu de pourfendre ensuite le mensonge et manquement chez autrui.

Le "manque de dialogue" qu'il dénonce rappelle l'absence de droit de réponse pour ceux qui défendent contre lui l'oeuvre de Maria Valtorta comme inspirée. Mais voici le meilleur du meilleur, écoutons-le :

" ... SANS PARLER DU MENSONGE, QUI EST DEVENU LA LANGUE COMMUNE DU PHÉNOMÈNE MEDJUGORGE ! DE A À Z, DU SIMPLE VOYANT AU CARDINAL, TOUS ONT MENTI."

Ainsi, en dénonçant haut et fort le ( soit disant ) mensonge des autres, Bouflet sait qu'il finit définitivement de se mettre à l'abri de tout soupçon :

comment en effet, quelqu'un comme lui qui dénonce avec tant d'assurance le mensonge, pourrait-Il être suspecté lui-même de mentir ?
Allons, sérieusement ! Quelqu'un d'aussi sérieux et pertinent que lui ? C'est impensable.
C'est tellement énorme, que cela passe sans faire la moindre vague.

Le menteur Bouflet a réussi à tromper son auditoire crédule et endormi dans une bienveillance bonnasse et complaisante à son égard.

Mais il n'en reste pas moins vrai que l'homme a menti, et pas simplement un peu. En toute conscience, les yeux dans les yeux, et avec le sourire ! C'est presque parfait. "Ce n'est pas au vieux singe qu'on apprend à faire la grimace" , dit le dicton.

Bonjour @André,

Je pense qu'on peut être convaincu d'être dans le vrai, et par conséquent, même si on déclare une chose fausse, on ne ment pas si on croit réellement ce qu'on dit.

Je ne sais pas si ma phrase est très française grammaticalement, mais ce que je veux dire, c'est que lors de cette interview, Joachim Bouflet a pu très bien faire preuve d'honnêteté. Ce qui ne veut pas dire qu'on est de fait dans la vérité, ni qu'on a raison a posteiori.

Je préfère donc croire qu'il a été honnête jusqu'au bout des ongles, en étant interrogé sur KTO, parce que si on pense l'inverse, ça pourrait être une accusation infondée de notre part. On ne connaît pas les coeurs, après tout...

C'est peut-être un peu naïf de ma part, je le reconnais. Mais j'aurais l'impression de déplaire au Seigneur en assumant que Joachim Bouflet ment volontairement (ce qui serait très grave)...

Fraternellement,
Hélène

Votre phrase est très correcte, chère Hélène
J'aimerais sincèrement partager votre opinion. Pourtant, même si l'on peut toujours accorder le bénéfice du doute à quelqu'un, puisque nous ne sommes pas Dieu qui sonde les reins et les cœurs et qui connaît le secret de chacun, je reste profondément scandalisé par le comportement de Bouflet.
Car il a donc écrit un livre là-dessus, même s'il y parle de plusieurs sujets : ce n'est donc pas un simple témoin lambda, cité à la barre pour dire ce qu'il en pense : il prétend bien au contraire se hisser au niveau des plus fins connaisseurs, et il n'a aucune espèce de réserve du style "il me semble que", "corrigez-moi si je le trompe" : il parle de manière décisive et tranchante, sans hésiter.

Il y a donc très peu de chance qu'il ignore que l'oeuvre ait d'abord été appelée par Jésus
"Paroles de Vie Eternelle", puis éditée sous le titre "le Poème de l'Homme-Dieu", puis "l'Evangile tel qu'il m'a été révélé", puisque tous le monde le sait aussi bien que lui. Pourquoi cette invention ridicule ?

Pour ce qu'il dit de l'inspiration de MV, cela semble également une pure invention délibérée de sa part, c'est ce qui apparaît être le plus probable.

Après, une clef de compréhension peut venir de l'analyse qu'en fait notre ami Alberto Moravia : le complet laisser-aller intellectuel de Bouflet, qui ne vérifie plus rien de ce qu'il dit. Ce ne serait alors pas nécessairement un mensonge au sens strict, mais n'en resterait pas moins incompréhensiblement grave, de la part de quelqu'un qui se fait appelé "professeur", avec d'ailleurs un plaisir non dissimulé : or un professeur enseigne ce qu'il sait de science certaine, et ne profère pas comme Bouflet des inventions pour combler ses lacunes de mémoires.
Mais je ne reconnais pas en lui cette sénilité de l'esprit qui pourrait expliquer tout cela.

Quoi qu'il en soit, qu'il ait fait volontairement ou non acte de mensonge, il accrédite bien son propos par sa dénonciation finale du mensonge chez autrui :

- ce qui est censé donner de lui l'image de quelqu'un d'apte à détecter l'absence de vérité, donc de particulièrement fiable, 
- et éloigner de lui toute suspicion d'erreur concernant ses propos sur Maria Valtorta, tout soupçon qu'il puisse lui-même mentir !

Le scandale est là, et il faudra le réparer.

Ce soir, j'ai eu la grande chance de pouvoir entrer en contact avec le père Bernard Schlotter, prêtre assez âgé, un saint homme en pleine possession de son esprit et fervent admirateur de l'EMV.

Ses paroles, que je n'ai malheureusement pas pu enregistrer ( mais ce n'est que partie remise ), m'ont profondément touchées tant elles sont fortes, et possédant l'accent de la plus grande sincérité :

- Il m'a dit "qu'on ne pouvait que tomber à genoux en entendant le Christ parler dans l'Oeuvre" !

Et il a ajouté, désignant ceux qui entreprennent de détruire MV : "Je vais dire quelque chose d'un peu fort, mais je pense que ce sont des démons ! "

Par bonheur, malgré son grand âge, il m'a dit qu'il "harcelait" les prêtres de la communauté Saint Martin de Mulhouse, pour qu'ils acceptent qu'il vienne leur faire une conférence sur notre chère messagère du Ciel.

Que tous ceux qui s'en sentent le cœur téléphonent donc à ces prêtres pour appuyer notre vénérable ami dans sa sainte entreprise ! J'irais bientôt le rencontrer personnellement pour faire plus ample connaissance.

Bien à vous en Jésus et Marie +
André

André a écrit:
- Il m'a dit "qu'on ne pouvait que tomber à genoux en entendant le Christ parler dans l'Oeuvre" !

Comme le fit mgr Carinci en entrant dans la chambre de Maria Valtorta… il enleva la calotte qu’il portait sur la tête et tomba à genou en prière devant le lit de Maria Valtorta… Et nous ne parlons pas de n’importe qui.
Il y a quelques jours, monsieur Pisani racontait encore l’épisode du père Roschini, qu’il connaissait bien avant qu’il commence à lire l’œuvre de Maria Valtorta. A l’époque il se trouvait à Viareggio avec son épouse, Claudia Vecchiarelli. Ils étaient dans la salle à manger avec Marta Diciotti, quand ils entendirent sonner à la porte. Monsieur Pisani ouvrit la porte et fut surpris par la présence du père Roschini… ces mots furent : “Je suis venu demander pardon”.
Il y aurait tant à dire à monsieur Bouflet… il suffirait vouloir écouter.
Daniel

@Daniel Fiorletta
Je ne connaissais pas ce détail concernant Mgr Carinci. Prier devant un lieu de révélations quand, comme lui, on a dirigé 262 procès en béatification ou canonisation, est une geste très fort de reconnaissance. Maintenant, il est très bien placé au Ciel pour nous donner un coup de main.

Concernant Joachim Bouflet, je reste interrogatif sur son audience. Pour tout dire, je l'ai trouvé un peu "à côté de la plaque" dans son interview sur KTO. J'ai été voir les avis sur Amazon : il y en a 4, dont deux de son lectorat qui estiment que son livre est du réchauffé, ce que je pense.

JB est le fruit d'une époque qui s'enfuit. Je ne connais de lui que ses livres sur A.C. Emmerich que j'ai étudié. Je n'ai pas partagé son admiration pour A.C.E. Je connais aussi ses arguments contre Medjugorje. Les faits le contredisent et partant, il se réfugie vers des points annexes : il regarde le doigt quand le Ciel lui montre la lune, selon le fameux dicton.

"Satan ! Imposteur ! Faussaire ! Hérétique ! Menteuse ! Débauchée ! ..." est une litanie choquante qu'il profère envers Maria Valtorta avec le poids de son passé. C'est pourquoi il faut les réfuter, mais je m'interroge sur l'audience que cela peut avoir. Cela sent tellement la naphtaline spirituelle !

Bonsoir François-Michel,
Pour l'épisode de Mgr Carinci, j'en avais entendu parler dans le livre de dom Zucchini sur la biographie de Maria Valtorta.
Merci à vous Daniel Fiorletta, pour ces deux anecdotes dont la seconde m'était inconnue !
Bien à vous +
André

@André
Voici magnifiquement résumé, face-à-face, le monde des soutiens à l'Œuvre de Maria Valtorta et le monde de ses détracteurs.

D'un côté :
Mgr Carinci, proche de Pie XII dont il réglait toutes les cérémonies et qui témoigne de son soutien (de Pie XII) dans la correspondance qu'il eut avec Maria Valtorta. Il confirme, par ce geste de prière (que je ne connaissais pas) ce qu'il écrira quelques temps plus tard (1952) : "il me vient tout à fait spontanément le désir de remercier le Seigneur de nous avoir donné par l'intermédiaire de cette femme qui a tant souffert, qui est clouée au lit, une œuvre littérairement sublime, doctrinalement et spirituellement si élevée". Autrement dit il reconnaît la valeur doctrinale et spirituelle qu'il attribue au Seigneur et à MV le rôle d'intermédiaire.
Mgr Carinci avait supervisé 262 procès en béatification ou canonisation, dont celui de Pie X dont il avait été un familier. S'il y a une référence en matière de sainteté des choses du Ciel, c'est lui.
Le P. Roschini était un consulteur (théologien confirmé) du Saint-Office. Fondateur de l'université pontificale mariale (Marinanum), il était un spécialiste reconnu de la mariologie (étude de tout ce qui touche à la Vierge Marie). Aussi quand il écrit "Aucun autre écrit marial, pas même la somme de tous ceux que j'ai lus et étudiés, n'avait été en mesure de me donner sur Marie, chef-d'œuvre de Dieu, une idée aussi claire, aussi vive, aussi complète, aussi lumineuse et aussi fascinante, à la fois simple et sublime, que les écrits de Maria Valtorta.", il confirme la haute valeur théologique que les censeurs avaient déjà signalé en tentant la dérision : "(la Vierge Marie) est présente partout, toujours prête à donner des leçons d’une théologie mariale mise à jour selon les plus récentes études des spécialistes actuels en la matière." Son livre avait été offert au Pape Paul VI qui l'en avait fait remercié chaleureusement.
Du côté de Maria Valtorta, il y a donc les autorités reconnues du Vatican qui cautionnent l'Œuvre dont nous nous nourrissons.

D'un autre côté
Il y a un auteur vieillissant obnubilé par Satan, l'imposture et les faux.
Il cautionne l'hérésie qu'aurait trouvé un jeune théologien plein d'allant mais qui n'a pas su reconnaître la sublime liturgie qui en parle ou qui ne voit, dans le symbole de Nicée (Credo) que le fantasme d'une grabataire.

A chaque monde ses supporters, mais le match est joué, d'autant que le Ciel a déjà donné un carton rouge et expulsé les auteurs de feu la mise à l'Index.

On aurait pu faire intervenir, dans le domaine de l'exégèse historique, ce qu'en disait le cardinal Bea, confesseur de Pie XII et recteur de l'Institut biblique pontifical ou le Bienheureux Allegra, béatifié par Benoît XVI et fondateur de l'Institut biblique de Hong-Kong. Mais ce n'est pas le sujet.

Le Ciel recrute dans le haut du panier. Je laisse le soin de qualifier où se recrute ses adversaires.

Je ne dirai pas grand chose sur ce mr Boufflet, si ce n’est que, pour être animé d’une telle hargne, tant envers Maria Valtorta ( j’ai lu la plupart de ses œuvres) que pour Medjugorje ( j’y suis allé 2 fois), il doit ( consciemment ou inconsciemment ???) servir le diable . Et si le diable se sert si bien de lui, c’est qu’il sait que, tant Maria Valtorta que Medjugorje, lui arrachent de ses griffes et de son sinistre royaume🤮, de plus en plus d’âmes. Sainte Faustine, Padre Pio et bien d’autres, avant d’être reconnus, ont aussi dû subir des foudres non moins sévères. La fougue et la rage de mr boufflet m’indiquent au contraire que ET Maria Valtorta ET Medjugorje sont dans le bon. Pauvre mr. boufflet.